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Sujet: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 11:20
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prénom ; élodie âge ; douze ans (bébé va) où avez-vous découvert le forum? ; partenariat (providence)
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let me sign
La musique s'élevait dans ma chambre, effaçant tous les autres bruits du petit matin -comme par exemple celui des escaliers que Leighton, ma sœur, montait et descendait depuis une bonne heure. Je prononçai le dernier "Let me sign" et jouai le dernière note, qui sonna comme poignante vu le brusque silence qui s'était installé dans la maison ensommeillée. Je fus très surpris de découvrir Leighton, sagement plantée dans l'encadrement de la porte. Elle m'adressa un sourire:elle avait toujours porté un intérêt à la musique que je composais. Sa voix argentine brisa le silence.
elle - « C'était très beau. Mais sans vouloir t'offenser, mon cher frère, on va partir. Alexander a déjà démarré sa Volvo. »
J'esquissai un sourire: la manière que Leighton avait d'appeler mon père, son beau père à elle, par son prénom m'amusait. Ceci dit, je faisais pareil avec sa mère. Je marmonnai.
moi - « Mouais, c'est surtout qu'il est super fier d'avoir acheté une voiture super chère. »
Elle s'approcha un peu plus de moi, et m'étudia avec méthode. Comme si elle cherchait un défaut chez moi. Ce qui semblait pourtant impossible, disait-elle sans cesse. Soudain, elle eut un hurlement horrifié.
elle - « OH GOD! Je vais devoir vraiment t'aider à utiliser les vêtements qu'on a acheté ce week end. », pleurnicha-t-elle.
Je ris aux éclats. Ce qui effrayait Leighton chez moi, c'était mon style. Enfin, un style... IL y a style et style. Car j'ignore totalement le sens de ce mot. Une semaine auparavant, une lycéenne qui trainait dans la rue avec ses copines avait gentiment déclaré adorer ma tenue. «Super fashion» pour citer ses mots. J'en étais restée bouche bée, tandis qu'elle avait continuer son chemin. L'œuvre de Leighton, avais-je songé. Quand j'avais raconté ça à cette dernière, elle avait jubilé. Sa main pâle qu'elle agitait devant mes yeux éloignés m'avait ramené à la réalité.
elle - « Direction l'Italie, maintenant.»
Leighton m'adressa un signe de la main accompagné d'un sourire, tandis que je descendis mon unique valise du coffre en rigolant: j'en vis trois qui appartenaient à Leighton. Hilare, je continuai mon chemin vers l'entrée de l'aéroport où moi et mon meilleur ami Bryan devions nous retrouver. C'était lui qui m'avait invité, lui-même invité par un personne dont il avait refusé de me révéler l'identité. Je verrais à l'aéroport, m'avait-il dit. Bizarrement, je soupçonnai Hayden Moore, mais évitais d'y penser, chose qui m'aurait aurait entrainé dans des nuits blanches. Un week-end avec elle (et Bryan). Le rêve. Mais je m'interdis d'y songer avant de découvrir qui était la mystérieuse personne. J'espérai tout de même qu'il n'avait pas deviné mes sentiments envers sa meilleure amie. Il était très -trop- protecteur avec elle, et qu'il soit au courant de mes sentiments pour Hayden aurait eu des conséquences...graves. Il me donna une bourrade amicale puis, en inspirant un grand coup, nous nous fondîmes dans la grosse masse qui se dirigeait au même endroit que nous. Bizarre, puisque nous étions censés êtres des gagnants "heureux et privilégiés". Je ne m'attardai pas sur cette question risible, me focalisai de nouveau sur l'identité de la personne mystérieuse. Elle me parut maintenant évidente, quand, plus belle que jamais, Hayden déboula dans l'aéroport. Elle et Bryan discutèrent rapidement, moi, plus que timide que jamais, les écoutant avec intérêt. La voix, de celles qui paraissent fausses, genre voix off, d'une hôtesse retentit au dessus de nous et la foule se déplaça vers la porte d’embarcation 15. Hayden s'assit à côté de Bryan et moi Leighton -laquelle reçut un regard très mauvais de la part d'Hayden-, puis l'avion décolla. Je posai confortablement mon crâne sur l'appui-tête du siège et somnolai. Un petit somme ne me ferait pas de mal vu l'heure à laquelle ma petite sœur m'avait réveillé...
Je ne pus compter combien d'heure le voyage dura, car mon "petit somme" se transforma en gros sommeil, car le visage dénué de peur de Leighton -elle craignait les crashs d'avion et appréhendait le voyage en Italie depuis une bonne semaine- me réveilla à l'aéroport de Rome. Nous descendîmes tous quatre de l'avion, et encombré d'une seule valise, j'en pris une à Hayden. Bryan fit de même, ce qui eut le don de m'irriter un peu. La minute d'après, j'avais oublié ce détail rageant. Tous les gens censés se rendent au château -j'avais fini par accepter le fait que nous soyons une bonne centaine de gagnants- prirent un taxi, puis une demi-heure plus tard -passée, je précise, à contempler ma merveilleuse voisine plutôt que le paysage-, la voiture se gara devant un somptueux portail et nous souhaita un bon week-end d'une voix un peu trop veloutée. Bien que le château était magnifique, datant du dix-huitième de ce que j'avais compris, il avait quelque chose d'effrayant, même si je ne saurais dire quoi. Nous arrivâmes dans le hall, qui pouvait facilement accueillir le double de personne qu'il y avait actuellement. Il était aussi beau que le reste de la "grande demeure", mais toujours aussi louche. Les portes se fermèrent dans un bruit sourd, puis se verrouillèrent. Un piège, une blague? Aucune idée, en tout cas quelque chose qui ne fit sourire ni Bryan ni Hayden. Mais ou était ma sœur?
moi - « Leighton ?! »
Elle me tapota l'épaule, l'air inquiète. Je passai un bras autour de ses épaules, et elle fit de même avec ma taille. Hayden nous adressa un coup d'œil irrité, et j'eus vaguement l'idée de lui demander quel était son problème. Mes résolutions furent réduites à néant quand je constatai qu'elle me souriait à moi, mais pas à ma sœur. Je resserrai cependant ma prise autour des épaules de Leighton, attendant patiemment mais anxieusement que l'on nous dise quelle blague mauvaise nous avions droit.
juliette belle mendelsohn (ashley greene) née le treize mai 1989 à londres we don't scales girls
Juliette B.Mendelsohn
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 11:54
ils se fichent bien que je meure ou que je vive...
Satisfaite de mon travail, ce qui, dernièrement, était que trop peu habituel, je fermai mon carnet à dessin et posai mon stylo à côté. Oui, être contente de moi ne m'était pas habituel. C'était comme un nouveau sentiment, inexploré. Enfin, un nouveau de ma nouvelle vie. Entre guillemets. Car depuis que j'étais entrée en primaire, c'était différent. J'étais arrivée fière, petite bourge que j'étais alors. Je pensais que tout le monde allait s'agenouiller devant moi et répondre à mes désirs et ses mes ordres. Naïve, j'étais. Mon premier jour avait été désastreux. Je m'étais montrée dédaigneuse envers les quelques élèves qui avaient adressé la parole à la nouvelle, en l'occurrence moi. Je m'étais sentie supérieure à eux. Mais, consciente que je ne faisais d'effet à personne, je m'étais refermée sur moi-même. Cela s'était passé très vite. Il y avait eu des glissades sur du verglas, des verres cassés, bref, tout ce qui était lié à la maladresse. J'avais perdu toute trace de confiance en moi.
Darmouth. Mon but. J'en rêvais depuis que j'étais toute petite. C'était une sorte d'interdiction que mes parents m'avaient posée. Nous vivions dans la banlieue chic de Londres, dans une grande villa blanche, et mes parents, deux avocats coincés, ne voulaient pas que j'aille dans une université prestigieuse ou pas, c'était les cours pas correspondance depuis le début du collège et ce serait toujours ainsi. Naturellement, les enfants comme les adultes sont attirés par l'interdit. Je m'étais donc débrouillée pour trouver assez d'argent pour avoir un billet de train et acheter mes affaires d'école. Toute seule. Mes parents, des gens bien revêches, m'avaient appris très jeune à être autonome. J'avais rapidement acquis les capacités de l'autonomie, seulement une fugue pour aller étudier dans l'école de mes rêves, ça relevait d'une grande responsabilité. Quand j'étais rentrée chez moi, pour les vacances de la Toussaint, ça avait bardé. Une petite heure de "espèce d'inconsciente", puis la colère était passée. Mes géniteurs n'avaient pas mis beaucoup de temps à accepter la fatalité:leur fille était une élève très douée, mais avait refoulé l'idée de se vanter. Cette petite était différente de ses parents. Néanmoins, je ne devins pas plus importantes aux yeux de mes parents.
Le coup de foudre. Quelle belle invention... Pouah! En tout cas, j'ignore ce à quoi je m'étais attendue; certainement pas à ça. Je l'avais lu, vu à la télévision... Eh bien à partir d'aujourd'hui, je pourrais dire qu'entre expérimentation et fictif, ce n'est pas la même chose. Par dessus mes cils, je le contemplai avec stupéfaction, lui, l'inconnu qui tentait d'identifier la personne cachée sous ses cheveux que j'étais, en me demandant si je pouvais lui indiquer le chemin jusqu'à la cafétéria. Il semblait ne pas voir les élèves qui le fixaient comme s'il était fou -car selon les gens de Darmouth, m'adresser la parole demandait un grand contrôle de soi. Je me perdis de nouveau dans la contemplation de ses iris bleues, tandis qu'il s'impatientait, avec douceur cependant. Je me ressaisis.
moi - « Il faut sortir de l'université et regarder un peu, c'est indiqué par des panneaux. Elle n'est pas très loin. »
Tout ça avec un contrôle de moi désarmant. Je m'étonnai de moi-même. Quoique... En y réfléchissant, je n'étais même plus sure de ce que je disais. Lui ne parut pas se rendre compte que je lui racontai surement des bobards. Puis en souriant, il se présenta comme être Alexander Cohen. Le pire fut quand il me serra la main, car son contact sur ma peau fut comme une décharge électrique, pourtant je l'aurais accepté cent fois s'il le fallait tellement la décharge était douce. Mais quand je relevai la tête, il était parti.
Jusqu'alors, Alexander et moi ne nous étions pas reparlé. J'étais pourtant calée entre lui et une autre élève en histoire de l'art, mais personne n'osait dire un mot. Du moins pour ma part. Il n'avait certainement rien à me dire lui non plus, il avait fini par avoir l'attitude d'un élève normal. Ce matin-là, j'étais assez secouée, car la soirée m'avait joué de drôles de tours. J'avais essayé de me remettre au dessin, passion que j'avais délaissé depuis la rentrée, manque de temps libre. Et Ô quelle surprise! J'avais laissé mon poignet guider le crayon de papier... Enfin plutôt l'inverse. Je voulais voir ce que le crayon avait à me révéler. Au début, ce n'était que des traits dans tous les sens, je m'y étais perdue. Mais en regardant mon chef d'œuvre terminé, je n'eus plus aucuns doutes. Comment ne pas reconnaitre ce visage? Et pourquoi était-ce lui que j'avais dessiné? Il me fut totalement égal d'avoir une réponse que je connaissais déjà.
moi - « Maman, j'ai vraiment mal à la tête... »
Si ma mère ne s'était pas tenue près de moi, elle n'aurait surement pas entendu ce que j'avais gémis. Elle posa une main fraiche sur mon front, ne montrant même pas une once d'intérêt envers sa fille qui était tout de même malade.
elle - « Va voir dans ma chambre, dans le tiroir de ma table de nuit il y a des cachets. Tu verras une boite jaune. Assez petite. »
Je m'exécutai, sachant pertinemment que de toutes manières, elle ne le ferait pas à ma place. Je titubai comme une ivrogne jusqu'aux escaliers et dut m'y reprendre à plusieurs fois pour viser juste, bien poser mon pied sur la marche. La petite boite jaune était en effet soigneusement rangée dans le tiroir. Ce qui m'attira l'œil ne fut cependant pas la boite de cachets, mais la photo qui était à côté. Elle représentait trois personnes: une femme, un homme et un bébé qui n'était autre que moi. D'une main tremblante, je retournai la photo -mes parents avaient la bonne habitude de marquer les noms derrière les clichés. Benjamin, Lilly et Juliette Labbro. Kézako? Je dévalai bruyamment les marches, oubliant au passage mal de tête et cachets de la boite jaune. Je fourrai la photo sous les nez de mes géniteurs, qui étaient à présents absorbés par une série niaise qui passait à la télévision.
moi - «Qui sont ces gens, sur la photo, avec moi?»
Mes parents qui, je précise au passage, se prénommaient Isabella et Noah, échangèrent un regard anxieux. A coup sur, ils me cachaient quelque chose. Puisqu'ils ne répondaient toujours pas, je regardai de nouveau la photo et voyaient effectivement une copie conforme de mon nez par rapport à celui de l'homme, et la même couleur d'yeux que la femme. J'étouffai un cri, puis les larmes commencèrent à rouler silencieusement sur mes joues. Alors, j'ignore comment je fis, mais deux minutes après, j'étais au téléphone.
moi - « Alexander? C'est Juliette. »
... alors autant partir.
« Isabella, Noah, J'ai appris des choses dernièrement qui m'ont poussée à déménager. Ne vous en faites pas pour moi, je suis avec les Cohen, des gens extraordinaires. Ils m'emmènent à Balwyn, en Australie. Je vais étudier la littérature dans l'université de la ville, car l'Ivy League n'est finalement pas ce qu'il me faut. J'ai tout de même réussi à me perdre plus de trois fois dans cette université. Je suis désolée, car en partant à Hanover, je vous ai fait beaucoup de mal et je recommence. De plus, c'est très infantile car j'ai beaucoup insisté pour partir à Hanover, et vous l'aviez refusé. J'avais désobéi et "fugué", et aujourd'hui je recommence encore. Je vous abandonne. J'en suis désolée, mais il faut que je prenne un peu l'air. J'essaierais aussi de retrouver la trace de mes parents biologiques. Si vous avez besoin de me dire quoi que ce soit, je n'ai pas l'intention de changer de portable, donc téléphonez. Avec tout mon amour, Juliette. »
Je ne mis guère de temps à faire ma valise. En grande lâche, je partis un jour où Isabella et Noah travaillaient -car désormais dire "mes parents" n'aurait plus de sens. Je partais pour deux choses précisés, c'était surtout la première qui m'avait décidé de quitter Hanover et son université qu'était Darmouth. Je ne m'y sentais pas bien, et puis -deuxième raison-, Alexander déménageait. Me séparer de lui m'était désormais douloureux, et je lui avais plus ou moins fait comprendre. Ses parents lui et sa sœur avait prévu de s'installer en Australie, dans la ville de Balwyn. Il y avait une université -au nom tellement complexe que je n'avais retenu que le fait qu'elle était prestigieuse- dans laquelle moi, Alexander et sa sœur Alice étudieront, et le père des deux Cohen travaillerait comme professeur. C'était d'ailleurs grâce à lui que j'avais trouvé ma voie, histoire de l'art. Je voulais, m'intéressant au cinéma et au dessin, devenir journaliste. Histoire était ce qui convenait le plus à mon futur métier, selon lui. Cependant, ayant testé l'année précédente, je connaissais l'échec. Cette fois, littérature me semblait plus appropriée. Sa femme, Jenna, était professeur elle aussi, mais au collège. Prof de français. Les parents Cohen étaient des gens charmants, et incroyablement riches, bien que l'argent ne soit guère un plaisir pour eux, c'était juste normal. Alexander avait choisi lui aussi littérature, pour d'autres raisons que j'ignore car il ne savait pas encore trop vers quel métier se diriger, et Alice la psychologie. J'avais moi-même pris psycho en option, et je ne fus pas déçue tellement cette matière se révéla intéressante. Dès que j'avais un temps libre, Alice insistait pour qu'on aille faire les boutiques -chose qui m'avait toujours rebutée. J'avais accepté que l'on fasse ça un après-midi par mois, ce qui était amplement suffisant, voire trop. Je préférais largement dessiner, chose qui restait éternellement ma passion. Alice respectait tout de même ça; ma solitude. Elle avait compris, du haut de ses 1m55 à 18 ans pourtant, qu'elle ne pourrait jamais me retirer ça. Elle savait que beaucoup de choses dans ma vie n'avaient pas marché dans mon sens, et n'insistait jamais trop sur un point, connaissant mon tempérament souvent susceptible. Mais sur le shopping, elle en avait tellement parlé que j'avais fini par céder. A l'université, c'était une sorte de train-train habituel. Boulot, devoirs, dodo. Auxquels s'ajoutait ma passion commune avec Alexander du dessin. Un mardi que nous arrivions, moi de ma marche silencieuse, Alexander gracieuse et Alice dansante, je sentis que l'ambiance était différente, plus électrique, et sans vouloir me vanter, j'avais eu raison. Car c'était ce jour-là précisément qu'Alexander m'avait embrassée. Il n'y avait pas eu de suite, cependant j'en garde un très bon souvenir.
Juliette B.Mendelsohn
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 11:58
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 12:27
Bienvenuuuuuuuuue
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Pegah A. Owen
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 12:38
Bienvenuee ashley (l)
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 13:53
Bienvenue demoiselle. Fait moi signe pour la validation.
Juliette B.Mendelsohn
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 13:57
Merci =D
Ryan James
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► Carpe Diem
«Il est plus facile de désintégrer un atom qu'un préjugé.»
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 17:06
Welcome
Joyce A. Carthwright
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 19:58
Bienvenue =D
Pandora Richardson
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 20:36
Bienvenue! Superbe début de fiche (:
Juliette B.Mendelsohn
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Lun 2 Fév - 20:59
Merci tout le beau monde =D
Beylin Aden || ♥ u rock my socks ||
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Sujet: Re: mendelsohn j. ; under construction Mer 4 Fév - 0:42