pandora richardson •• hopes always that it's only a bad dream. Only. [Ok]

Pandora Richardson ;
pandora richardson •• hopes always that it's only a bad dream. Only. [Ok] Sanstitre1at4

(c)Paradise
« The thought of losing you is been hanging 'round my mind...»

Hors-jeu

Prénom : kloé

Âge : Officiellement 16 ans, officieusement 5 ou 6.

Ou avez-vous découvert le forum ? De partenaire en partenaire, mon cœur a fait BOUM BOUM BOUM devant ce design juste parfait.

Exemple de post :

Spoiler:

QUELQUES MOTS ET TA VIE PEUT ÊTRE BRISÉE.

Je ne sais si je suis soulagée ou malheureuse, si finalement je ne m'étais pas déjà faite à l'idée d'être mère. Alors que les larmes cessent enfin de couler, je souhaite à nouveau regarder le test de grossesse afin de vérifier que j'ai bien lu: « pas enceinte » indique alors l'objet, et rien ne peut être plus clair. Je range alors, comme si la nouvelle ne m'affectait pas, le test et son carton au fond de ma trousse de toilette, en espérant que mon petit ami ne fouillera pas là-dedans. Bien que j'ai terminé ce que je voulais, je ne me sens pas d'attaque à retourner me coller contre celui que j'aime comme si de rien était, peut-être devrais-je lui parler ce qui m'aidera sans aucun doute à me sentir mieux, car la chute est dur à supporter. L'eau coule toujours, et je me décide alors d'y aller quelques peu pour me détendre: de plus, quand je sortirai, les traces de mes larmes auront complètement disparu et Calvin n'aura donc en aucun cas à s'inquiéter. L'eau, plus que glacée, est comme une conscience qui souhaite que je paye pour tout ce que je fais à Calvin: mensonge sur mensonge. C'est décidé, je le réveille et je lui avoue tout. Cela fait à peu près un an que nous sommes ensemble, et il est sûrement temps de grandir, de voir plus loin lui et moi. Peut-être qu'après ma cure de désintoxication, nous pourrions tenter d'avoir un enfant, et pourquoi pas se marier? Bien que des alliances sont inutiles, ne prouvant pas l'amour l'un pour l'autre. Je sors de la douche et c'est grelottante que je cherche une serviette propre, que j'enroule autour de ma taille: je souffle avec force afin de me donner du courage et cela n'est pas nécessaire car pour dire vrai, je n'ai plus peur, j'ai bien trop confiance en lui pour avoir peur de sa réaction.

Je déverrouille la porte de la salle de bain et tombe nez à nez sur mon blondinet, qui remet son pantalon à une vitesse incroyable. Alors que je m'approche de lui pour l'enlacer avec amour, sa phrase me fige quelques instants. Mais je comprends que cela n'est qu'une mauvaise blague qu'il souhaite me faire, pas drôle du tout il faut l'avouer. Je continue alors dans ma lancée et entoure mes bras autour de sa taille, alors que je me mets sur la pointe de mes pieds pour que mes lèvres atteignent ses lèvres. A ce contact, il semble rester de marbre ce qui a le don de m'agacer: pourquoi se montre-t-il si peu réceptif le soir où je souhaite leur faire des aveux? M'a-t-il vu avec ce test de grossesse? Impossible, car la porte était fermée. Pour lui montrer que je suis un peu lassée par son attitude, très différente de d'habitude, je me détache de lui et soupire bruyamment.

Arrête de dire des sottises, je sais très bien que c'est une blague. Et c'est pas le moment, je dois de te dire quelque chose...

Il ne répond même pas à mes mots, alors que je m'attendais de sa part un léger sourire accompagné d'une phrase douce, qui explique calmement qu'il arrête cette stupide blague. Mais il se contente de remettre son tee-shirt, toujours avec cette rapidité étonnante, et ma conscience se met alors à se poser la question fatidique: et si ce qu'il disait était vrai? Immédiatement, alors qu'il enfile un pull, je l'arrête et le force à me regarder dans les yeux, mais il détourner à chaque fois le regard. Paniquée, et ne sachant que faire, je tente de le retenir en lui criant d'arrêter cette mauvaise blague, ce qui ne fait pas d'ailleurs. C'est avec froideur qu'il me repousse afin d'aller jusqu'à son sac, où il prend quelques unes de ses affaires, et je ne saurai dire comment je me sens à présent, si je dois rire ou pleurer, me taire ou crier.

Ma force qui est bien trop faible pour l'arrêter, je me décide alors de courir jusqu'à la porte de mon appartement pour nous enfermer à clé: cela peut avoir un aspect plutôt psychopathe je vous l'accorde, mais je serai à présent capable de tout pour qu'il reste près de moi: crier mon amour, me mettre à genoux, le supplier de m'aimer encore comme je l'aime. Je ne parviens pas à retenir mes larmes qui coulent à présent à flots et qui envahissent mes joues, mais à l'heure qu'il est, je m'en moque éperdument. Je ne cesse de le fixer, affolée, alors qu'il se contente sans dire un mot de regarder un peu partout dans mon appartement, pour voir s'il n'oublie rien -du moins, c'est ce que j'en déduis-. Je ne peux rester là, figée devant la porte afin de lui bloquer la sortie, je décide donc de courir vers lui pour l'enlacer de toutes mes forces, comme si mes bras autour de lui pouvaient le faire changer d'avis.

Calvin, explique-moi qu'est ce qui se passe. Je vois bien que tu en souffres autant que moi à l'heure qu'il est, ne pars pas, pitié, ne pars pas. Je t'aime bien trop pour te laisser partir sans te retenir.

Je sens son cœur qui bat à cent à l'heure, et j'ai envie de lui demander si cet organe parviendra à battre sans moi, sachant pertinemment que le mien, s'est déjà arrêté quand mon esprit a comprit qu'il ne blaguait pas. Il me demande, d'une voix distante que je n'avais jamais connu jusque là, de ne pas rendre la chose plus difficile qu'elle ne l'ait déjà. L'envie de le secouer en criant que je souhaiter récupérer mon Calvin, mon homme me parvint, mais je préfère me contenter de continuer de le serrer contre moi de toute mes forces comme si cela était plus efficace, ou plutôt est-ce une excuse pour sentir et encore l'odeur de sa peau. Et pourtant, je ne sais pourquoi et comment, mais j'abandonne. Oui, je le laisse sans aller alors que je tombe de tristesse sur le sol, étant à présent anéantie.

Les quelques pas que Calvin fait vers la sortie me déchire le cœur, et j'ai cette sensation qu'en fermant brutalement la porte de l'appartement, une partie de mon âme s'est envolée...

AIMER, C'EST PERDRE LE CONTRÔLE.

Je ne comprends pas tout ce qui se passe, à vrai dire, je ne parviens pas à savoir comment je me sens, si c'est sain de trembler comme une feuille parce qu'il est en face de moi et qu'il me fait toujours aussi craquer, si c'est normal que j'ai envie de lui faire mal comme il me fait, si c'est raisonnable de me jeter pour lui pour l'embrasser fougueusement. La décision qui me semble la plus sage est de rester tout simplement assise, à le contempler discrètement, bien que je sens la cicatrice se défaire, la douleur étant alors atroce.
« Tu… Tu penses vraiment que… J’aurai pu te tromper ? » dit-il alors, comme si cela était inimaginable, et ma première réaction est de rire intérieurement: ce ne serait pas le premier homme à le faire, ni le dernier malheureusement. Oui c'est vrai, avant j'aurai pensé que Calvin aurait été incapable de m'infliger ça, mais ne m'a-t-il pas quitté sans raison, ce qui me prouve qu'il n'est qu'un salaud, et que je ne dois pas lui faire confiance? De plus, quand il m'a laissé seule avec mes larmes et mon cœur brisé, à moitié folle, je songeais à tout, même au plus ridicule, et l'idée de la tromperie ne pouvait être mise de côté. Je n'ai pas envie de lui répondre par des mots, sachant que je risquerais de craquer, comme une adolescente et je préfère alors me contenter d'acquiescer. Oui Calvin, oui je pense que tu as pu me tromper. Il se lève sans me donner une explication et immédiatement mon cœur s'emballe: va-t-il partir sans me donner une raison valable? Va-t-il encore me laisser seule avec mes larmes pour seule compagnie? Finalement il me prévient qu'il va chercher quelque chose à manger et je me calme immédiatement, en murmurant alors un léger « d'accord » pour lui montrer que je l'écoute. J'ai l'impression de revenir cinq ans en arrière, lorsque je n'avais que seize ans. Je fais semblant de faire quelque chose alors qu'en fait, je l'admire sans m'arrêter, le trouvant toujours aussi séduisant. Il arrive à la caisse et quand il passe sa main dans ses cheveux en parlant à l'employé, je me sens faillir, encore et encore. Pourquoi a-t-il autant de pouvoir sur mon corps et sur mon cœur? Cela devrait être interdit d'être aussi beau! Il revient alors, et dépose une meringue devant moi, ma pâtisserie favorite et il doit voir par lui-même combien ce geste me touche: pas parce que j'avais envie d'en déguster une, mais simplement le fait qu'il s'en souvienne toujours, comme je me souviens que le cookie est son gâteau préféré.

Tu n'as pas oublié...Lui dis-je, légèrement prise de nostalgie et surtout soulagée qu'il ne m'a rayé de sa vie. Je te remercie, ça me fait plaisir.

Je ne savais s'il comprendrait que le remerciement serait plus pour s'en être souvenu que pour la pâtisserie elle-même, mais cela m'importait pu. Alors que je portais la meringue à ma bouche, la même sensation que lorsque j'étais jeune quand je faisais des crises d'anorexie, et je la repose alors délicatement. Et heureusement, car les mots qu'il prononce me fascine complètement. « Oui je te mens » avoue-t-il alors, comprenant sûrement que je ne pouvais accepter sa première excuse, trop faible et minable pour être la véritable. Alors c'est ça, au final, la vérité? Et pourquoi je reste toujours, aussi sceptique? Sûrement parce que moi, contrairement à lui, je n'ai jamais eu peur de l'avenir qui nous réservait. Dieu que je voudrai arrêter d'être aussi indécise, car encore une fois je ne sais si je dois être heureuse pour cet aveux ou être déçue de celui-ci. J'aimerais lui prendre sa main pour la caresser avec amour, mais je me contente de le regarder dans les yeux, le regard parlant beaucoup plus que des mots ou des gestes.

Je t'aimais aussi Calvin, plus que toi apparemment, car je n'ai jamais douté de nous, et je n'ai jamais eu peur de notre avenir, car la seule chose qui m'importait était d'être à tes côtés. J'ai encore du mal à réaliser que tu m'aies quitté parce que tu étais effrayé, non. Tu as toujours fait preuve de maturité avec moi et tu...Tu aurais dû savoir que nous aurions pu parler de tout ça.

Curieuse, et surtout de nature gourmande, je prends la pâtisserie et j'en coupe un morceau. Mes doigts s'approchent alors de ma bouche que j'entre-ouvre et la referme quand le morceau de meringue est parvenu à l'intérieur. Je ne peux m'empêcher de soupirer de plaisir et de fermer les yeux face à ce plaisir que me procurer cette simple chose, ayant presque oublié ce goût divin. Il est vrai que ce n'est pas que de la nourriture qui traverse ma bouche, non, c'est aussi les trentaines de fois que j'en ai mangé auparavant avec mon petit ami et cela me rappelle de merveilleux moments. Que je ne suis pas prête à oublier, d'ailleurs. La courte phrase qu'il prononce me fait sortir de mes pensées, et c'est à peine si je m'étouffe. Je le regarde avec de grands yeux, me demandant même si j'ai bien entendu, mais à voir sa tête il a bien prononcé ces mots. Ces mots qu'il ne m'avait pas dit depuis un bout de temps, et que j'aurai été capable de tout pour les réentendre, pour les savourer encore, pour qu'il continue à tout jamais de me les murmurer au creux de mon oreille. Bien sûr que je l'aime encore, bien sûr que je l'aimerai toujours. Mais n'est-ce pas trop facile? De revenir, après des mois d'absence, pour me reconquérir dans un starbuck?

Tu n'as pas le droit de me faire ça Calvin, je ne t'autorise pas. Tu n'as pas le droit de revenir comme si de rien était, d'avoir attendu que je ne sois plus au fond du gouffre pour me récupérer. Et qui me dit que cette peur ne te reviendra pas? Qui me dit que tu ne recommenceras pas? Tu l'as bien fait une fois, et bien que cela m'étonne toujours de ta part, tu seras capable de le refaire une seconde fois. Parce qu'au fond, on a beau faire des efforts, on ne change jamais. On reste la même personne, avec ses qualités et surtout ses défauts. Mon cœur t'a toujours appartenu et tu le sais, mais la carapace qui s'est formée autour d'elle m'empêche de te l'offrir maintenant. Et de toute façon, je ne veux pas, ce serait trop facile. De me détruire et de me récupérer lorsque tu le souhaites.

pandora richardson

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joué par Sophia Bush

We ♥ Scales Girls

Pandora

est originaire d'Australie

elle est né(e) le

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Votre Histoire

Journal intime d'Ambre Jenkins ; début mars 1991.

Cher journal,
Je t'ai toujours dit que je ne croyais pas au coup de foudre. Pourtant, aujourd'hui, il s'est passé quelque chose d'étrange, d'inexplicable mais je vais pourtant essayer de tout te décrire dans les moindres détails. Car tout cela était trop magique pour que mon cœur puisse garder tout pour lui.
J'étais au parc de Melbourne tu sais, et je lisais Roméo et Juliette pour sûrement la dizaine fois, mais je m'en moquais éperdument de connaître ce magnifique livre par cœur, car cela ne m'empêchait pas de me laisser emporter par cette histoire d'amour si tragique. De l'Amour...Ce sentiment que je n'avais pas connu depuis si longtemps, ce sentiment qui me manquait terriblement! Trop occupé dans mon livre, je n'entendis pas la personne s'installant sur le banc à côté de moi et c'est quand il lut aussi de mon épaule que je remarquai sa présence. Comme tu le sais, cher journal, car tu me connais pas cœur, je déteste -et pire encore- qu'on lise par dessus mon épaule. C'est légèrement irritée et avec un regard noir que je relevais la tête de mon livre.

Ce mauvais regard disparut immédiatement, et pour cause. Jamais je n'avais vu un homme aussi attirant et séduisant, les cheveux en bataille, un sourire au coin et des yeux...si...Fascinants. Je t'avoue que j'ai cru mourir, tellement cette personne était divine. Je n'en croyais pas mes yeux: était-ce possible d'être aussi séduisant et attirant ? Mon regard ne pouvait quitter le sien, et cela n'était pas un problème, au contraire. J'avais cette impression d'être désirée et aimée, ne serait-ce qu'en fixant ses yeux. Aucun de nous deux voulait rompre ce merveilleux silence et finalement, je décidais de faire le premier pas.

« Et si on allait chez moi? »

Journal intime d'Ambre Jenkins ; fin mars 1991.

Je suis à mon quatrième test de grossesse, et celui-ci m'avoue la même chose que les autres: je suis enceinte. Tous les membres de mon corps tremblant, je m'avance doucement vers la chambre où Shane fait ses valises: d'origine écossaise, il se doit de rentrer chez lui. Comment lui avouer cela, alors que nous nous connaissons à peine? Dois-je me taire et avorter ? Me taire et le garder ? Tout dire et pleurer, tout simplement? L'homme que j'aime sent ma présence derrière lui et immédiatement, il me prend par les hanches pour me faire tomber délicatement sur le lit, afin de m'embrasser, encore et encore. « Je ferai le plus vite possible, ne t'en fais pas, tu n'auras même pas remarqué que je suis parti. » me murmura-t-il, alors que je réfléchis à comment lui annoncer que j'attends un bébé de lui. Soudain, je sanglote et je ne peux m'arrêter, comme si donner la vie était une tare plutôt qu'un véritable bonheur.

« Ambre, je rentrais vite mais par pitié, ne pleure pas. »
« Ce...Ce n'est pas pour ça. »
« Que se passe-t-il? »
« Je suis enceinte...De toi. »

Un ange passe, j'essaye de lire dans ses yeux ce qu'il ressent mais je ne vois que le vide. Et la réflexion. Mes larmes cessent pour un moment de couler, sûrement grâce à l'aveu que je viens de faire, qui me libère. Il se relève du lit et me fait dos, ce qui me fait terriblement mal.

« C'est une blague? »
« Tu crois que c'est mon genre? »
« Tu as fais exprès pour que je ne parte pas, hein? »
« T'es qu'un salaud Shane! Un salaud! Comment tu peux penser ça de moi! Co...comment... »

Les larmes reviennent mais cette fois-ci tout est plus douloureux, car jamais je n'avais imaginé cette réaction de la part de cette homme, qui, il y a quelques semaines, m'a rendu folle d'Amour. Alors que je me recroqueville sur moi-même, Shane me rejoint et m'enlace comme il peut, posant une de ses mains sur mon ventre.

« Ça va aller, mon ange, tout ira bien. »

Journal intime de Pandora Richardson ; janvier 1999.

Ma maman elle dit que ça fait du bien au cœur d'écrire, alors elle m'a acheté un journal intime. Je suis super super contente, en plus il est trop trop beau! Il est rose avec des paillettes, et mes copines de l'école et ben elles vont toutes être jalouses, c'est sûr!
Je m'appelle Pandora Richardson, et mon papa c'est Shane Richardson, et et ma maman Ambre Richardson. J'ai pas de petit frère, mais j'en veux un, mais papa et maman ils disent que c'est pas aussi simple, qu'eux ils voudraient bien mais que la petite cigogne veut pas pointer le bout de son nez. Alors p'tite cigogne, vite vite, dépêche-toi, car on t'attend! Mes parents, ils sont super amoureux et puis mon papa c'est le plus beau. Je veux plus tard avoir un amoureux aussi mignon que lui. Ma maman elle me dit souvent que ben, on a de la chance, nous trois. Car on est heureux. Et que de nos jours, les malheurs sont partout. Journal, tu sais quoi ? Et ben je suis amoureuse. Mais je veux pas te dire pour l'instant, car personne ne sait, et j'ai peur que tu le répètes à mes copines. Mais t'inquiètes pas, je te le dirai.

Journal intime de Pandora Richardson ; avril 2000.
Papa et maman ne cessent de crier, et j'ai envie de hurler à mon tour. Leur hurler de se taire, mais je préfère rester dans ma chambre à écrire dans mon journal. Tu sais, finalement on est plus si heureux que ça. Il y a deux mois, et ben papa et maman ont eu un accident de moto. Papa ça va mais maman et ben, ben...Les médecins ont dit qu'elle serait infirme toute sa vie. Je sais pas trop ce que ça veut dire, mais en tout cas elle peut plus bouger ses jambes, et c'est papa qui doit tout faire à sa place. Ma maman elle est toute triste, je le sais même si elle le sait pas et mon papa...Papa il est perdu, je crois. Moi, j'ai très très peur pour ma maman, et ses câlins me manquent...

Journal intime de Pandora Richardson ; décembre 2001.
J'ai 10 ans, et pourtant ce n'est pas la joie à la maison, et ce depuis longtemps. Ma mère ne veut plus parler, mon père lui boit beaucoup trop et je le sais. Moi, je dois me débrouiller toute seule car mes parents ont trop de problèmes, et je ne leur en veux pas. J'aimerais juste retourner deux années auparavant, c'est tout ce que je souhaite. D'ailleurs, c'est le seul cadeau que je veux pour mes dix ans. Papa vient me voir et m'enlace, et je profite de ce moment, car à présent ils sont rares. Il s'abaisse à ma taille et m'embrasse sur la joue, il semble si triste que j'ai envie de pleurer pour lui. Il me dit que je ne mérite pas cette vie, que je suis encore jeune et pleine de vie et qu'il faut que je m'épanouisse. Je ne comprends pas tout ce qu'il dit, mais je retiens qu'il veut lui aussi partir loin, qu'il n'est pas heureux ici. Il veut m'emmener avec lui, et moi je peux pas m'empêcher de dire « Et maman? ». Il me regarde alors peiné, et me dit que maman elle peut plus s'occuper d'elle toute seule, et qu'elle n'est plus vraiment maman. Elle a le physique d'Ambre, c'est sûr, mais qu'à l'intérieur à présent tout est vide. Que la maman que j'avais est morte. Je refuse de l'admettre et mon papa me dit que c'est vrai, et qu'il faut pas que je sois triste. Moi, je pleure, je veux pas que ma maman soit morte! Papa a fait ses valises, et il s'avance dans ma chambre pour faire les miennes. Je continue de pleurer et je lui dis qu'il peut partir tout seul, moi j'abandonnerai pas maman. Papa dit qu'il l'abandonne pas, c'est pas vrai, mais il est malheureux et maman est malheureux et qu'il vaut mieux pour tous les deux qu'il parte. Moi je reste, papa, et tant pis pour toi, je dis alors. Il refuse de me laisser avec maman, et je m'enferme alors dans les toilettes pour pas qu'il me prenne. Un temps plus tard, j'entends la porte claquer et je comprends qu'il est parti. Timidement, j'ouvre à nouveau la porte et cours jusqu'à la chambre de papa et maman. Maman est dans son lit, comme toujours, mais elle pleure et cela faisait longtemps, qu'elle n'avait pas pleurer. Je m'allonge alors à côté d'elle et pose ma tête sur sa poitrine. Avec une de ses mains, elle me caresse les cheveux et cela me fait du bien. Elle se met à chantonner une contine qu'elle m'a apprise petite. Je chante avec elle et je souris.

Tu vois Papa, elle est pas morte, maman. Moi je m'occuperai d'elle, je fuirai pas comme toi.

Votre personnalité

▬ Maladroite: Pandora est maladroite. Non en réalité, elle est bien plus que cela, s'il existait un adjectif plus fort que maladroit. C'est simple, elle est ce genre de personnes qui parvient à tomber dix fois par jour, se prend des murs beaucoup trop de fois pour les compter et fais tout le temps des gaffes. On aime ou on aime pas, mais en tout cas, ce défaut est ancré en elle, incapable de changer!
▬ Autonome: Depuis toute petite, elle a appris à se débrouiller seule, c'est pourquoi à présent elle a acquis une autonomie plutôt incroyable. Elle préfère à présent tout faire elle-même.
▬ Impulsive: Il ne faut pas embêter la petite Pandy, car elle part toujours au quart de tour. Elle n'est pas du genre à garder son calme et hausse la voix assez rapidement, surtout quand on se paye sa tête.
▬ Méfiante: Suite à son passé et ce qu'elle a vécu avec les garçons, elle ne peut s'empêcher d'être toujours très méfiante. Elle a une sorte d'énorme carapace pour se protéger de tout, et mets beaucoup de temps à donner sa confiance. Mais après ça, ne vous inquiétez pas, elle est douce comme un agneau!
▬ Attentive: Cela peut paraître idiot comme point de caractère, et pourtant il n'y a sûrement pas plus à l'écoute que Pandora. Elle ne sait pas du tout réconforter et n'est absolument rassurante, c'est sûrement pour cela qu'elle adore écouter les gens parler, soulager leur peine: pour « compenser ».
▬ Bavarde: Pandy trouve toujours quelque chose à dire, même si cela est inutile puéril ou absolument pas drôle. Elle n'arrête pas et pour cause, elle déteste le silence, il faut que ça bouge! En plus de cela, la brunette parle à une vitesse plutôt incroyable, ce qui fait souvent peur aux gens.
▬ Réservée: En fait, cela est plus une question d'habitude qu'un trait de caractère. Pandora a toujours été habituée à ne jamais dire ce qu'elle ressent, et à mentir s'il le faut. Ne jamais se fier à ce que vous dit Pandy, elle ne dira jamais vraiment ce qu'elle ressent.
▬ Affectueuse: Quand Pandora aime, ça n'a pas de limite, bien qu'elle n'osera jamais le dire. Elle a toujours eu des câlins et des baisers à revendre, qu'elle ne manque pas de donner d'ailleurs.
▬ Boudeuse: Sûrement son pire défaut, car elle ne cesse de faire la tête dès que quelque chose l'irrite, et ce depuis qu'elle est haute comme trois pommes. Son père a toujours dit qu'elle tenait ça de sa mère, alors que cette dernière jurait le contraire. Sûrement qu'elle le tient des deux, d'où ce trait de caractère énormément présent.
▬ Perfectionniste: Tout doit être parfait, que cela soit en cours, dans sa chambre, dans sa façon de s'habiller. On pourrait même dire qu'elle est maniaque, mais elle en a conscience, et cela fait plus rire qu'autre chose.
▬ Possessive: Elle a cette peur omniprésente que les personnes qu'elle aime l'abandonne, angoisse qu'elle doit tenir à cause du départ prématuré de son père. C'est pourquoi, dès qu'elle voit ses amis se rapprocher d'autres personnes, elle est jalouse et fait tout pour les garder près d'elle.
▬ Positive: La brunette ne peut s'empêcher de toujours relativiser et de voir la vie du bon côté, même dans les pires moments. Elle ne baisse jamais les bras et c'est sûrement grâce à son côté très positif.

Autres

▬ Pandora est fière de son physique. Ne croyez pas qu'elle est ce genre de personnes prétentieuse et qui s'aiment plus que les autres non, elle aime son physique uniquement car il est identique à celui de sa mère. Elle a même parfois l'impression que sa mère vit en elle à cause de cette ressemblance.
▬ Rares sont à présents les personnes qui apprécient les trois bitch, et la brunette en fait parti. C'est vrai quoi, elles ont toujours procuré des informations croustillantes qui ont diverti la plupart des jeunes, alors pourquoi à présent elles sont détestées par tant de lycéens?
▬ Son père cherche souvent à la joindre, et au lieu de raccrocher, elle décroche mais sans parler. Uniquement pour écouter sa voix, car elle a beau le nier, cet homme lui manque terriblement. Lui, il sait qu'elle est au bout du téléphone et lui parle souvent longuement, de tout et de rien.
▬ Sa mère est à présent dans un bâtiment consacré aux personnes infirmes et c'est pourquoi Pandy peut se consacrer à ses études.
▬ Le dessin est une véritable passion pour la demoiselle Richardson. Toujours un crayon sur elle et son bloc-notes dans son sac!
▬ Elle aime le jazz et le blues principalement. Elle aurait aimé faire du piano, mais les leçons étaient trop chères.
▬ Déteste tout ce qui est motos et voitures, c'est pourquoi elle se balade toujours à pieds ou en vélo, et qu'importe la distance à faire.
▬ S'habille dans des boutiques peu chics, mais parvient toujours à être à la pointe dans la mode, sans pour autant être vulgaire.
▬ Quand elle rit, cela est peu discret, et souvent ses amis font semblant de ne pas la connaître dans ces moments pareils.
▬ Aime lire de la poésie française.
▬ Il y a deux ans de cela, elle a été anorexique mais à présent, tout va mieux, bien que toujours très peu gourmande et pour elle, manger est plus un besoin qu'un plaisir.

Scales Girls

Welcome!!

(sophia

)

Bonne chance pour finir ta fiche Smile

Bienvenue =D

Merci beaucoup!

Bienvenue ici demoiselle !

Merci beaucoup! (:

Désolée pour le double post, c'est uniquement pour vous prévenir que ma fiche est terminée (:

Je te valide !